« L’édifice a d’abord été occupé par son beau-fils, le vice-roi Eugène de Beauharnais, avant que François Ier, empereur d’Autriche et roi de Lombardie-Vénétie, vienne s’installer en 1815 », précise-t-il, en nous menant à l’étage. « Cette porte, j’ai mis dix ans à la faire ouvrir, car les salles avaient été transformées en bureaux de l’administration », indique l’historien et auteur du « Palais royal de Venise » (chez Flammarion), sur le seuil de ces appartements accessibles au public depuis le 14 juillet seulement.