« Avez-vous lu l’interview de votre fille dans Paris Match ? » Immédiatement, les yeux de François Bayrou rougissent. « En tant que père de famille, ça me poignarde le cœur », répond le Premier ministre, très ému, aux nombreux journalistes venus couvrir son déplacement en Isère, ce mercredi 23 avril. « Mes enfants sont comme la prunelle de mes yeux, poursuit-il, mais les victimes veulent protéger leurs parents, c’est terrible. Cette question doit nous hanter. »