« Noël avant l’heure », glapit un ado emmitouflé dans une grosse doudoune, flocons de neige sur les épaules, lorsqu’on lui apprend la nouvelle. Derrière la vitre du showroom Tesla à Paris (VIIIe), 3, boulevard Malesherbes, le Cybercab n’est pas encore visible, mais il est bel et bien là, d’ici peu accessible au grand public. Le Parisien-Aujourd’hui en France a pu approcher le nouveau venu en avant-première et monter à bord.
Couleur bronze, carrosserie effilée digne du fuselage d’un jet, portes papillons : le Cybercab en jette. Elon Musk, le très médiatique patron de Tesla, avait dévoilé ses lignes pour la toute première fois début octobre, lors d’une conférence de presse aux studios Warner Bros près de Los Angeles, en Californie. La voiture est un mix entre le Cybertruck, dont il emprunte l’esthétique punk et futuriste, et la Model 3, dont il reprend le format berline. Sa mission ? Offrir un service de « robotaxi », c’est-à-dire de taxi électrique sans conducteur.
