Une tendance qui participe à la « glamourisation » du mythe du bad boy, l’homme de 26 ans étant déjà surnommé « le tueur au sourire ». Le reste de la chanson est d’ailleurs à l’avenant : « C’est un salopard avec une arme », « il n’est pas fiable », « je sais que tu m’as dit que je devais rester à l’écart », « c’est un mauvais garçon avec un cœur corrompu » mais « maman je suis amoureuse d’un criminel et ce type d’amour n’est pas rationnel, il est physique ». Quand la pop culture banalise les relations toxiques.