Près de deux ans et demi. C’est le temps qui sépare le premier rendez-vous de Marie pour sa procréation médicalement assistée (PMA) — désormais assistance médicale à la procréation (AMP) — de la naissance tant espérée de son enfant, début 2024. Un long et difficile chemin, sans garantie de réussite au départ, pour cette habitante des Yvelines, à la conclusion finalement heureuse.
Lorsqu’en août 2021, la loi relative à la bioéthique élargit l’accès gratuit à la PMA en France aux couples de femmes et aux femmes seules, cette célibataire est l’une des premières à se lancer dans un parcours solo. « Qui a mal débuté cependant », raconte-t-elle aujourd’hui au Parisien, avec son fils Charlie, 11 mois, dans les bras.