À chaque événement d’ampleur, une même sidération, mais aucune solution miracle. Le 26 juillet dernier, jour de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, des actes de sabotage inédits à quatre endroits différents ont presque mis à l’arrêt la circulation des trains sur les lignes à grande vitesse. Un an et demi auparavant, en janvier 2023, un acte de malveillance avait interrompu le trafic à la Gare de l’Est. À ces deux épisodes, un même procédé : l’incendie de câbles électriques sur des points stratégiques. Les deux enquêtes sont toujours en cours.