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DIRECT. Nouveau gouvernement : « La censure est un choix grave qui aura des conséquences », a insisté Macron en Conseil des ministres


12:01

Futur Premier ministre : LFI, RN… Les partis politiques en ordre dispersé

11:50

Fin du compte rendu

Le compte rendu du Conseil des ministres prend fin.

11:46

Macron est « garant des institutions » et « cherche une solution de stabilité », selon Bregeon

La porte-parole du gouvernement Maud Bregeon affirme que le président de la République n’avait « pas donné d’indication sur la temporalité de son choix » pour un nouveau Premier ministre. « Le président de la République est garant des institutions, il cherche une solution de stabilité dans l’optique d’avoir la base de stabilité la plus large possible », a-t-elle déclaré. Elle ajoute que le chef de l’État « tend la main » aux autres formations politiques.

11:40

Pas d’amendements

La loi spéciale ne pourra pas être amendée par les parlementaires, confirme Laurent Saint-Martin. Y compris des amendements qui permettraient d’idexer les impôts sur l’inflation.

11:37

La loi spéciale « autorise le gouvernement à percevoir l’impôt », selon Laurent Saint-Martin

Le ministre démissionnaire au Budget Laurent Saint-Martin a affirmé que la loi spéciale permettra à l’État « d’éviter un shutdown ». D’après lui, cette loi autorisera le gouvernement « à percevoir les impôts jusqu’au vote de la loi budgétaire de cette année ». Elle permettra aussi au pays et à la Sécurité sociale de continuer à emprunter.

11:34

Emmanuel Macron a insisté sur le fait que « la censure était un choix grave », la coalition actuelle n’a pas pu être élarge à ce stade

En compte rendu du Conseil des ministres, la porte-parole démissionnaire du gouvernement Maud Bregeon a affirmé qu’Emmanuel Macron avait insisté sur le fait que « le choix de la censure était un choix grave qui aurait des conséquences ». « Il a également insisté sur le fait qu’il n’y avait pas actuellement de socle plus large que celui en place aujourd’hui  (LR et macronistes). »

11:33

La loi spéciale débattue la semaine prochaine à l’Assemblée

11:13

Bompard répond à Faure, acte II

Dans un nouveau post X, le coordinateur de LFI Manuel Bompard estime qu’Olivier Faure « s’en prend aux insoumis pour masquer un changement de ligne ». Le premier secrétaire du PS avait affirmé ce matin que LFI donnait « le sentiment d’être à côté de l’aventure » en refusant de discuter avec la macronie.

« Refuser de censurer un gouvernement macroniste ou de droite serait un reniement du NFP, bâti pour construire une rupture avec le macronisme. Soyons clairs : accepter un tel gouvernement, ce ne serait pas avancer mais reculer », affirme Manuel Bompard. Ce dernier a déjà affirmé il y a un peu plus d’une heure que « ramener le scalp du Nouveau Front Populaire (à Emmanuel Macron), c’est faire son jeu ».

11:01

Le PS ne peut pas être « dépendant de la bonne volonté » de LFI, réagit Patrick Kanner

Alors que le premier secrétaire du PS Olivier Faure a clairement acté ce matin la scission avec LFI, Patrick Kanner estime pour sa part  que « ne peuvent pas être dépendants de la bonne volonté » des Insoumis. « Ni soumission, ni compromission », a-t-il affirmé sur BFMTV en estimant toutefois que LFI avait « toute sa place à gauche ».

10:49

Si un Premier ministre de gauche était nommé, le PS y participerait, selon Patrick Kanner

Sur BFMTV, le président du groupe socialiste au Sénat Patrick Kanner – présent à l’Élysée ce mardi – affirme que si un Premier ministre de gauche était nommé, le PS y participerait. Les socialistes ne rejoindraient en revanche pas le gouvernement si c’était un « Premier ministre de droite ou de centre droit », de même si François Bayrou était nommé.

10:44

« Certains disent être prêts à contourner la Constitution » : pourquoi la loi spéciale agite l’Assemblée

10:27

Marine Le Pen très haute pour 2027, selon un sondage

Marine Le Pen obtiendrait, en fonction de ses adversaires, entre 36 et 38 % des voix au premier tour de la présidentielle, et Jordan Bardella à peine moins, selon un sondage Ifop-Fiducial pour Le Figaro Magazine et Sud Radio publié ce mercredi.

Selon ce sondage, réalisé en ligne du 6 au 9 décembre, donc après la motion de censure ayant conduit au renversement du gouvernement Barnier, Marine Le Pen obtiendrait 36 % des voix contre Édouard Philippe (25 %) et même 38 % contre Gabriel Attal (20 %). Son score progresse même de deux points par rapport à une précédente enquête de septembre.

10:19

Pour Marine Le Pen, le « bloc central » a « vocation à se dissoudre »

La cheffe des députés RN estime dans un entretien à Valeurs Actuelles que le bloc central (macronistes et LR) « a vocation à se dissoudre ». « Je ne vois pas comment il pourrait en être autrement », affirme-t-elle. « Je n’ai jamais perçu de différences fondamentales entre Les Républicains et les macronistes, entre Laurent Wauquiez et Gabriel Attal. Leur mariage m’apparaît comme une évidence. La question de l’absence de cohérence idéologique de nos concurrents ne date pas d’hier », tacle-t-elle également.

10:06

Éric Woerth appelle à « recréer une forme de stabilité »

« Il faut qu’on recrée une forme de stabilité », a affirmé sur LCI le député Ensemble pour la République (EPR) Éric Woerth. « Pas pour faire de l’immobilisme, mais pour afficher une ambition. Ce serait stupide de perdre un deuxième gouvernement à cause du manque d’ambition et il faut le faire avec profondeur », a-t-il détaillé.

Pour lui, c’est au président de la République – « seul élu stable » – « d’incarner cette stabilité » en travaillant « en coordination avec le Premier ministre ». « Si on appelle à la démission du président de la République à chaque fois qu’il y a un mauvais sondage, on ne gardera pas longtemps des présidents », a-t-il ironisé.

09:58

« C’est une belle maison qui a besoin de stabilité » : Anne Genetet se verrait bien rester ministre de l’Éducation nationale

Interrogée sur Sud Radio sur son envie de rester au gouvernement, la ministre démissionnaire de l’Éducation nationale Anne Genetet estime qu’il s’agit d’« une belle maison dans laquelle il y a beaucoup à faire » et « qui a besoin de stabilité ». « Je suis au service de mon pays, je suis à la disposition du président de la République. C’est son choix et son seul choix. »

« Je veux souligner que depuis 2017, l’école est la priorité du président de la République », a-t-elle également déclaré.

09:41

« Le front du refus, c’est celui du président de la République » : Bompard répond à Faure

Alors que le socialiste Olivier Faure a appelé ce matin la gauche à ne pas être « le front du refus », le coordinateur national de LFI Manuel Bompard estime que « le front du refus, c’est celui du président de la République qui bloque toute nomination du Nouveau Front populaire (NFP) à Matignon ». « Lui ramener le scalp du Nouveau Front Populaire, c’est faire son jeu. »

09:13

Emmanuel Macron en Pologne jeudi

08:58

« Le NFP sera uni pour combattre la politique de ce nouveau gouvernement », prévient Manuel Bompard

« Je pense que le NFP sera uni pour combattre la politique de ce nouveau gouvernement », a déclaré Manuel Bompard, estimant que le NFP a déjà « fait la démonstration dans le débat budgétaire » qu’il pouvait « gagner des majorités sur un certain nombre de sujets ». 

« Vous croyez qu’on va attendre que le président de la République soit contraint de démissionner pour commencer à y travailler », a martelé le coordinateur de La France insoumise. 

08:56

« L’hypothèse François Bayrou, ce sera une censure », prévient Manuel Bompard

Invité de Franceinfo, Manuel Bompard, député LFI des Bouches-du-Rhône et coordinateur national de la France Insoumise a prévenu que son parti choisira la censure si François Bayrou est nommé Premier ministre. 

« François Bayrou, il a été ministre d’Emmanuel Macron, donc l’hypothèse François Bayrou, ce sera une censure », a-t-il mis en garde, rappelant que le Nouveau Front Populaire souhaitait toujours la nomination de Lucie Castet. 

« Si certains tombent dans le piège d’une grande coalition, […], évidemment qu’ils vont fracturer le NFP », a également mis en garde Manuel Bompard, rappelant qu’un « accord de non-censure, ça n’existe pas ». 

08:55

« Le grand acquis, c’est de mettre à l’écart le RN », affirme Olivier Faure

Pour le premier secrétaire du PS Olivier Faure, le « grand acquis » des partis du front républicain est « de mettre à l’écart le Rassemblement national ». « La gauche est celle qui permet d’isoler l’extrême droite et de faire en sorte qu’elle ne soit plus la maîtresse du jeu », s’est-il félicité.

08:49

Faure tacle Mélenchon

Olivier Faure affirme que « le Nouveau Front populaire » n’appartient pas à Jean-Luc Mélenchon, qui a appelé hier la gauche à claquer la porte de l’Élysée. « Plus Jean-Luc Mélenchon crie, moins on l’entend », a-t-il taclé en critiquant la méthode de LFI qui appelle à la démission ou à la destitution « inaccessible » d’Emmanuel Macron.

08:47

« On ne peut pas être le front du refus », affirme Olivier Faure pour qui LFI « donne le sentiment d’être à côté de l’aventure »

Le premier secrétaire du PS affirme que les écologistes, le PS et les communistes ont une volonté commune « de faire avancer » le pays. « On ne peut pas être le front du refus, on ne peut pas vivre avec cette sinistrose permanente », a-t-il déclaré. « LFI donne le sentiment d’être à côté de l’aventure (…) Ils affaiblissent la gauche. » 

08:41

« Ça ne peut pas être François Bayrou », lance Olivier Faure

Interrogé sur la piste François Bayrou à Matignon, Olivier Faure estime que ce ne peut pas être « le bon choix ». « Ça ne peut pas être François Bayrou », a-t-il déclaré. Pour lui, le président du MoDem, proche d’Emmanuel Macron depuis 2017, donnerait un « signal de continuité » de la politique du président de la République dont « les Français ne veulent pas ».

08:36

Faure veut « un Premier ministre de gauche ouvert aux compromis »

« Je souhaite un Premier ministre de gauche ouvert aux compromis », martèle le premier secrétaire du PS Olivier Faure sur BFMTV/RMC qui veut quelqu’un issu « de la gauche ou des écologistes ». « On doit avoir le pouvoir d’initiative, on doit accepter les compromis et les concessions », a-t-il ajouté en appelant à ce que « la crise politique dans laquelle nous sommes entrés soit la plus courte ». « On ne peut pas passer sa vie à dire non, ceux qui en souffrent ce sont les Français. »

08:32

LR ne s’oppose pas à l’hypothèse François Bayrou, qui « peut être une solution » 

En réclamant une « stabilité institutionnelle », le secrétaire général délégué des Républicains Geoffroy Didier estime que l’hypothèse François Bayrou à Matignon « peut être une solution » compte tenu de « sa grande expérience ». « Bayrou est un homme expérimenté, républicain, central, centriste (…) je n’ai aucune opposition. »

« Nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas avoir de gouvernement ou de budget », a-t-il déclaré en affirmant que les siens censureraient « tout gouvernement avec des ministres LFI oui qui mettrait en œuvre le programme du Nouveau Front populaire (NFP) ».

08:24

Pour Lisnard, Macron « commet une erreur » en écartant le RN

Alors que les chefs de parti hors RN et LFI se sont accordés hier à l’Élysée de ne plus dépendre du RN, David Lisnard estime qu’Emmanuel Macron a commis « une erreur » en ne recevant pas Marine Le Pen ou Jordan Bardella. « Soit il se place d’un point de vue institutionnel et il doit recevoir tout le monde, soit il se positionne comme le chef d’une majorité qui n’existe pas et il fragilise la fonction (présidentielle). »

08:19

« Nous sommes dans une situation de blocage politique », affirme David Lisnard

« Nous sommes dans une situation de blocage politique », lance sur CNEWS/Europe 1 le maire de Cannes et président de l’association des maires de France David Lisnard. Pour lui, la difficulté actuelle est de savoir « comment gérer le pays » et comment créer un « sursaut », en dénonçant une « tambouille ».

08:10

Robert Ménard juge « immoral, inacceptable » et « dégueulasse » d’exclure le RN de l’arc républicain

Interrogé su RMC, le maire de Béziers (Hérault) Robert Ménard estime qu’exclure le Rassemblement national de l’arc républicain est « immoral, inacceptable, dégueulasse ». « On ne peut pas renvoyer LFI et le RN comme ça. LFI a refusé de participer à ces discussions et le RN n’a pas été invité. Je trouve ça stupide, le contraire de l’efficacité. On ne peut pas commencer par exclure un parti, quel qu’il soit », a-t-il déclaré. Ni LFI ni le RN n’ont été conviés à l’Élysée autour d’Emmanuel Macron hier.

08:05

Bayrou Premier ministre ? « Aucune automaticité à la censure », répond Éric Ciotti

Interrogé sur l’éventualité de voir le patron du MoDem François Bayrou à Matignon, Éric Ciotti répond qu’il n’y a « aucune automaticité à la censure ». « Il faut que le Premier ministre écoute », a-t-il ajouté en affirmant avoir « censuré un mauvais budget ». Il se dit prêt à de nouveau voter une censure si le futur budget est « mauvais ».

08:00

Éric Ciotti dénonce un « spectacle lamentable » à l’Élysée

Non invité par Emmanuel Macron à l’Élysée – qui a reçu tous les partis sauf LFI, le RN et ses alliés hier – le chef des députés UDR Éric Ciotti déplore un « spectacle lamentable ». « Je me dis que tous les maux des Français ont été résumés dans ce tour de table avec tous ceux qui ont mis la France à genoux depuis des années », a-t-il affirmé sur RTL.

« Je crois que cette réunion est une fraction usée, dépassée, qui a abîmé le pays, qui n’a pas fait les réformes nécessaires. C’est une fraction qui sera balayée par les urnes. »

07:53

Éric Coquerel veut continuer à censurer les projets de loi de la majorité, rejetant la proposition du PS

« Si on s’empêche de censurer, cela veut dire que l’opposition renonce à s’opposer », critique Éric Coquerel, président (LFI) de la Commission des Finances à l’Assemblée Nationale, en réaction à la proposition du Parti socialiste : l’idée serait selon Olivier Faure que « le gouvernement renonce au 49.3 », outil constitutionnel pour passer en force à l’Assemblée nationale, « en échange de quoi les oppositions renonceraient à une motion de censure ».

Une idée qui ne plaît pas à LFI : « On ne va pas laisser passer des projets de loi au nom de la stabilité. Si la stabilité c’est essayer d’imposer au NFP le maintien de cette politique (du gouvernement), c’est renier nos électeurs. J’espère qu’on finira par recensurer ce gouvernement. »

07:46

Marine Le Pen veut un Premier ministre qui parlera « à l’ensemble des forces politiques »

Marine Le Pen se dit « convaincue que le futur Premier ministre comprendra qu’il faut, dans une démocratie, parler à l’ensemble des forces politiques », dont le Rassemblement national. « On ne demande pas la lune. On demande que la démocratie et nos 11 millions d’électeurs soient respectés », a-t-elle affirmé. Sur la censure de Michel Barnier, elle dénonce un « budget toxique ». « En un vote, on a fait économiser aux Français 40 milliards d’impôts. »

07:42

Le Pen n’avait « rien à faire » à l’Élysée

Interrogée sur France 2 sur sa non-invitation hier à l’Élysée, la cheffe des députés RN Marine Le Pen affirme ne pas être « mécontente » de ne pas avoir été confiée. « Ne souhaitant pas participer au gouvernement, je n’avais rien à y faire », affirme-t-elle. « Ils (les partis des écologistes à LR invités par Emmanuel Macron) n’étaient pas réunis pour savoir comment régler les problèmes des Français, mais plutôt rester sur le cheval et pour s’assurer de garder leur place. »

07:32

Michel Barnier, à l’heure des regrets

Alors qu’il s’apprête à quitter Matignon, le Premier ministre démissionnaire Michel Barnier estime avoir essuyé les plâtres alors que « l’esprit de coalition » n’a pas été suffisamment partagé au sein de son socle. Il entend bien rester utile malgré tout.

07:26

Le PS veut un Premier ministre « de gauche ouvert aux compromis »

Le Parti socialiste (PS) a « réaffirmé » à l’unanimité son souhait qu’Emmanuel Macron nomme un « Premier ministre de gauche ouvert aux compromis ».

« Il n’y a pas d’autre voie possible, sauf à reproduire l’erreur qui aura conduit au blocage institutionnel et budgétaire du pays. C’est à Emmanuel Macron désormais de prendre ses responsabilités et d’agir en respectant le vote des Français », a ajouté le PS sur le réseau social X mardi soir.

07:14

François Hollande « ne regrette pas » d’avoir voté la censure : « Elle a clarifié la situation politique »

L’ancien président de la République François Hollande, redevenu député socialiste, répond aux critiques dans Le Parisien-Aujourd’hui en France sur son vote de la motion de censure. Il la défend et considère qu’elle a « clarifié » la situation politique, excluant le RN des négociations tout en isolant LFI.

François Hollande à l’Assemblée nationale le 4 décembre. LP/Arnaud Journois

07:01

C’est quoi cette loi spéciale présentée aujourd’hui en Conseil des ministres ?

La « loi spéciale de finances » peut être utilisée lorsque l’État se retrouve sans budget au 1er janvier, afin d’éviter une paralysie administrative. Elle n’a pas de caractère politique et contient souvent peu d’articles. Pour résumer, elle va permettre de reconduire le budget 2024 pour l’année 2025, le temps qu’un nouveau budget soit adopté. Tous les détails sur cette loi spéciale dans cet article.

06:53

Le Pen, Ciotti, Bompard, Faure… il y a du monde dans les matinales

Une nouvelle fois, de nombreux ténors seront invités dans les différentes matinales. La cheffe des députés RN Marine Le Pen sera notamment sur France 2 à partir de 7h35 et son allié Éric Ciotti sur RTL à la même heure. Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure sera, lui, sur RMC/BFMTV vers 8h30 et le coordinateur nationale de la France insoumise Manuel Bompard sur franceinfo à 8h30 également. L’ensemble de ces prises de parole seront à suivre dans ce direct.

06:44

La gauche veut amender la loi spéciale, le conseil d’État dit non

La gauche entend amender la loi spéciale – qui vise à reconduire le budget 2024 et dont l’adoption fait peu de doute – pour s’assurer que le barème de l’impôt sur le revenu soit bien indexé sur l’inflation, afin d’éviter qu’un grand nombre de Français voient leur pression fiscale monter.

Le Conseil d’État a estimé ce mardi que cette disposition n’y avait pas sa place. Les socialistes plaident pour que les forces politiques adoptent cet amendement et ne saisissent pas ensuite le Conseil constitutionnel sur la loi adoptée, afin d’éviter sa censure.

06:34

Un Conseil des ministres dans la matinée

Le Conseil des ministres – probablement le dernier du gouvernement démissionnaire de Michel Barnier – se tiendra ce mercredi dans la matinée (vers 10 heures) à l’Élysée. La loi spéciale, qui vise notamment à permettre à l’État de lever l’impôt, y sera présentée par le ministre démissionnaire du Budget Laurent Saint-Martin.

06:11

Emmanuel Macron exprime « sa volonté de ne pas dissoudre l’Assemblée » d’ici la fin de son mandat

Lors de cette même réunion à l’Elysée, le président de la République a assuré aux participants qu’il excluait de « dissoudre l’Assemblée nationale » d’ici la fin de son mandat, en 2027. 

De leurs côtés, les chefs de partis ont assuré à leur sortie de l’Elysée qu’ils étaient prêts à travailler à un « pacte de non-censure », à défaut de pouvoir se mettre d’accord sur un « accord de gouvernement ». 

06:05

Un Premier ministre nommé ce mercredi ? 

06:03

C’est le début de ce direct ! 

Bonjour et bienvenue sur ce direct consacré aux tractations pour la nomination du futur Premier ministre. Restez avec nous ce mercredi pour ne rien manquer des dernières évolutions. 

Contexte

Les tractations se poursuivent ce mercredi

Pour l’heure, le président du MoDem, François Bayrou, fait figure de favori pour prendre la succession de Michel Barnier à Matignon. D’autres noms, à l’instar de ceux des ministres démissionnaires de l’Armée et des Territoire, Sébastien Lecornu et Catherine Vautrin, sont également évoqués dans l’entourage de l’État. 

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