Au procès, les parties civiles l’évoquent aussi, pour réunir des accusés aux profils pourtant divers. Lors de sa plaidoirie, Me Stéphane Babonneau, l’un des avocats de Gisèle Pelicot, a évoqué « un mode de défense révélateur d’un phénomène bien plus profond : la culture du viol ». Mais de quoi parle-t-on exactement ? Dans l’espace public, ce concept est-il connu ?