Maintes fois annoncée et reportée, cette première visite depuis 2018 reflète, insiste le cabinet royal, une « volonté commune » de « raffermir les liens multidimensionnels unissant les deux pays ». Elle entend « marquer une nouvelle ambition, pour les trente ans à venir, de la relation franco-marocaine », renchérit, lyrique, l’Élysée, soulignant qu’il s’agit du 4e pays francophone du monde, avec 13,5 millions de locuteurs.