« Je ne m’y retrouvais plus. Les relations n’étaient jamais positives », souffle l’éleveur. « Tout se fait dans le conflit, estime de son côté Christophe Cesbron, installé à Melay (Maine-et-Loire), qui va aussi vendre d’ici peu son lait à l’usine de Cholet. Les rapports sont juridiques, compliqués. » La nouvelle laiterie a attiré quelques dizaines de producteurs jusqu’alors liés à Lactalis.