13:10
Barnier définit son futur gouvernement
« Equilibré, représentatif, pluriel », c’est le gouvernement que promet Michel Barnier depuis la Savoie. « Chacun aura sa place », affirme-t-il.
En visite au Bourget-du-Lac en Savoie, sa terre d’élection, en marge d’une visite de l’Institut national de l’énergie solaire, il a qualifié de « très amicales » et « très cordiales » ses relations avec sa famille des LR.
13:02
Michel Barnier dit son souci de « maîtriser » l’immigration avec « humanité »
Depuis la Savoie, Michel Barnier est revenu ce jeudi sur sa politique en matière de migration. Sans confirmer la rumeur de mise en place d’un ministère de l’immigration, le chef du gouvernement a déclaré : « on va traiter cette question grave, sérieuse avec de la rigueur, avec de la ténacité, dans un souci de maîtriser l’immigration ». « On le fera aussi avec humanité », a ajouté le Premier ministre.
12:54
« Je veux juste vous dire ma fierté de vous avoir servis pendant sept ans »
Dans une vidéo face caméra publiée sur X, Bruno Le Maire a fait ses derniers au revoir aux Français. « Je veux juste vous dire que cela a été ma fierté de vous avoir servis pendant sept ans », déclare-t-il. « Tout n’a pas été parfait (…) mais je peux vous assurer que nous avons donné le maximum pour créer du travail partout sur le territoire français (…), pour faire venir des investisseurs, pour ouvrir des usines, pour relancer la production industrielle dans notre pays (…) », développe Bruno Le Maire.
Le ministre démissionnaire a également annoncé qu’il s’apprêtait à retrouver sa profession de professeur de Français.
12:28
Quel ministre de l’Environnement était Michel Barnier ?
Entre 1993 et 1995, l’actuel locataire de Matignon a été ministre de l’Environnement. Auprès du Parisien, ses équipes et proches de l’époque décrivent un homme de conviction et de terrain, à une période où la protection de l’environnement ne figurait pas parmi les préoccupations principales ni des Français.
11:59
« Ne pas revenir en arrière sur les impôts »
« La France ne doit pas revenir en arrière sur le rétablissement de ses comptes publics. Elle doit continuer de se fixer pour objectif de revenir sous les 3% de déficit (public) en 2027 » par rapport au PIB, a déclaré Bruno Le Maire devant des centaines d’invités dans la cour du ministère de l’Economie, conviés pour son départ après plus de sept ans de service, avant de se consacrer à l’enseignement.
« La France ne doit pas revenir en arrière non plus sur les impôts », baissés à hauteur de 55 milliards d’euros pour les entreprises et les ménages depuis 2017, a-t-il ajouté devant des fonctionnaires, conseillers, parlementaires et autres convives.
11:36
Le Pen-Philippe-Attal, trio de tête pour 2027
Emmanuel Macron n’a fait que la moitié de son second mandat mais beaucoup ont déjà la tête à 2027, ou avant. Une enquête Ifop-Fiducial pour Le Figaro-magazine de cette semaine place Édouard Philippe et Gabriel Attal en pole position pour le remplacer dans son camp. A la question « souhaitez-vous qu’il/elle succède à Emmanuel Macron comme président de la République ? », 39% des sondés répondent « Marine Le Pen », mais ils sont 35% à dire « Edouard Philippe », et 33% Gabriel Attal.
11:25
Le Maire fait ses adieux à Bercy
Tout le ministère de l’Economie est réuni dans la grand patio de Bercy pour saluer le départ de Bruno Le Maire, ministre depuis plus de sept ans.
10:55
Un Premier ministre RN n’aurait « rien changé » à la cérémonie d’ouverture des Jeux
Dans un entretien au journal Le Monde, le directeur artistique de Paris 2024 Thomas Jolly affirme que « si Jordan Bardella avait été Premier ministre, je n’aurais rien changé au contenu » de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques. « De toute façon, c’était trop tard. Mais ce contexte politique anxiogène a probablement influé sur la réception des spectateurs », dont certains ont peu apprécié la reproduction de la Cène.
10:39
Le Maire, ministre sur le départ
Il va bientôt quitter Bercy, où il aura passé sept années à défendre et appliquer la politique macroniste en matière économique. Dans cet article, on vous dresse le portrait de l’animal politique qu’il est et demeure.
10:18
Le cabinet de Barnier
Un arrêté publié hier au Journal officiel a acté que Michel Barnier avait choisi de prendre pour directeur du cabinet Jérôme Fournel et pour chef de cabinet Baptiste Rolland.
Jérôme Fournel, 57 ans, économiste passé par HEC et l’ENA, a été le dir’cab de Gérald Darmanin quand celui-ci était aux Comptes publics, et jusqu’à la semaine dernière il officiait au même poste stratégique au côté de Bruno Le Maire à Bercy. Baptiste Rolland, 45 ans, a été sous-préfet à Lorient puis préfet délégué à l’égalité des Chances auprès du préfet de la région Paca.
10:00
Une autre Macron au Havre ce soir
Ce soir, au Havre dont il commémorera les 80 ans de la libération, Emmanuel ne sera pas le seul Macron avec Edouard Philippe. Son épouse Brigitte sera présente dans la ville, pour l’inauguration du nouveau campus de l’association d’insertion professionnelle pour adultes Live (l’Institut des vocations pour l’emploi), qu’elle préside et où elle enseigne la littérature.
09:50
Edouard Philippe, « ni Thatcher, ni Macron »
Hier soir sur BFM TV, l’ancien Premier ministre Edouard Philippe, désormais officiellement candidat à la prochaine élection présidentielle, a promis que son futur programme ne sera « ni du Thatcher ni du Macron ». « Je pense que ce sera du Philippe, parce que je ne cherche pas à imiter qui que ce soit », a-t-il dit, précisant n’avoir pour l’instant rien à présenter. « Le programme viendra le moment venu ».
09:38
Si vous l’avez manqué
Emmanuel Macron a déclaré hier soir devant le Conseil d’Etat qu’il fallait « toujours prendre en compte » le « suffrage » des Français, ce qui a fait tousser Manuel Bompard et Olivier Faure notamment.
« Le peuple aujourd’hui souverain s’exprime par le suffrage qu’il faut toujours prendre en compte parce que c’est le fait premier en toute démocratie », a souligné le président de la République lors de la cérémonie de rentrée du Conseil d’Etat.
Le vice-président du Conseil d’Etat, Didier-Roland Tabuteau, a de son côté appelé à ne pas demander aux juges de se « substituer aux pouvoirs publics pour définir une politique publique », une tentation de plus en plus grande des acteurs politiques en l’absence de majorité à l’Assemblée. « Le juge n’est là ni pour plaire ni pour déplaire (..) Son indépendance est le fondement de son office (..) Elle est l’ultime rempart pour la protection des droits de chacun », a-t-il martelé.
09:26
Une rencontre très suivie
Emmanuel Macron participe en fin de journée à la cérémonie commémorative de la libération du Havre. Les regards et les mots qu’il pourrait échanger avec le maire de la ville, Edouard Philippe, désormais candidat à la prochaine élection présidentielle, seront particulièrement scrutés.
09:22
« Absolument pitoyable » : Delogu réplique après la charge de Ruffin sur la stratégie électorale de LFI
Sur Sud Radio toujours, Sébastien Delogu répond aussi à François Ruffin, qui a rompu avec les Insoumis et accuse dans un nouveau livre la direction du parti d’avoir laissé les « campagnes » populaires à « l’abandon », pour se concentrer sur les « quartiers », des propos qui ont déclenché la colère parmi ses anciens collègues. Jean-Luc Mélenchon estime qu’il ne faut « pas perdre de temps à aller voir les fachos plutôt que d’aller voir les abstentionnistes », défend Delogu, élu LFI des Bouches-du-Rhône, jugeant le député de la Somme est « absolument pitoyable » et « tombé bien bas » à vouloir « sans arrêt taper sur la gauche ». « Il dit vouloir parler à la France entière, mais quand une marche contre l’islamophobie est organisée, il dit : j’ai foot », cingle-t-il aussi.
09:20
« Peu importe la manière dont je parle, je suis détesté par la droite et l’extrême droite » : Delogu répond aux moqueries sur sa lecture
Moqué en début de semaine après avoir lu de façon hésitante un texte en commission des finances de l’Assemblée nationale, Sébastien Delogu est revenu sur la séquence sur Sud Radio : « j’étais juste un peu fatigué, j’ai écorché un mot, j’ai sauté une phrase, je me suis retrouvé à bafouiller », retrace le député insoumis des Bouches-du-Rhône. Mais « peu importe la manière dont je parle, je vais me comporter, je suis détesté par la droite et l’extrême droite, pour ce que je représente », un « enfant des quartiers Nord » de Marseille, des « gens d’en bas », comme l’a évoqué Michel Barnier, ironise-t-il. Cette polémique signifie-t-elle « que les gens qui ne savent pas lire, qui n’ont pas fait d’études, n’ont pas leur place dans la société ? », s’irrite aussi l’élu, qui confie « faire tout (son) possible pour (s)’améliorer et apprendre ».
09:15
Thibault de Montbrial partant pour un ministère
«Si jamais j’étais contacté, je dirais oui, je suis un homme d’action et un patriote, tous mes choix de vie depuis que j’ai 20 ans sont engagés au service du pays », a assuré Thibault de Montbrial, avocat et président du Centre de Réflexion sur la Sécurité Intérieure, sur CNEWS et Europe 1. « On ne m’a rien proposé à ce jour » mais « je reçois beaucoup de messages », a-t-il eu la pudeur de dire.
09:00
La FNSEA donne « un mois » à Michel Barnier
« Michel Barnier a été ministre de l’Agriculture entre 2007 et 2009 et il connaît bien les arcanes européennes, sujet central pour l’agriculture. Son CV plaide pour lui mais ce qui compte, ce n’est pas ce qu’il a fait, mais ce que le Premier ministre de la France va faire dans le mois qui vient » pour les agriculteurs, avance, sur RMC et BFM TV, Arnaud Rousseau, le président de la FNSEA. « Ce qui compte, c’est le caractère concret » du travail qui sera effectué rapidement.
08:54
Villepin ne sera pas ministre de Barnier, Macron « ne comprend pas » le monde
« J’ai déjà répondu » à la question de savoir s’il était possible à Dominique de Villepin de devenir ministre de Michel Barnier. L’ancien Premier ministre entend la question de France Inter sur le Quai d’Orsay. « Ministre des Affaires étrangères, je l’ai été dans un temps où l’on pouvait, j’étais la pointe avancée de la politique étrangère » de la France, dit-il. « Si Monsieur Macron m’appelle et me dit j’ai besoin de quelques conseils, ce qu’il n’a jamais fait, je serai ravi de les lui donner ». Mais, ajoute-t-il, « malheureusement aujourd’hui le logiciel présidentiel est dépassé par rapport aux relations internationales, il ne comprend pas ce qui est en train de se passer » dans le monde, reproche Villepin.
08:42
Voter avec le RN l’abrogation de la réforme des retraites ? Roussel mal à l’aise
« Je ferai tout pour que l’abrogation de la réforme des retraites soit faite », assure Fabien Roussel, espérant que la proposition de loi d’abrogation soit faite avant la niche du Rassemblement national, qui pourrait la proposer.
08:38
Mardi 16h30
Il avait déjà annoncé que les communistes allaient rencontrer Michel Barnier mardi prochain. Ce matin, Fabien Roussel le précise sur LCI : « mardi prochain 16h30 à Matignon, nous le rencontrerons ».
08:33
« Emmanuel Macron, le plus grand des voleurs »
Sur le plateau de LCI, le patron du PCF Fabien Roussel s’emballe: « Emmanuel Macron, c’est le plus grand des voleurs. (…) C’est un gentleman cambrioleur, il a braqué le résultat des élections législatives » en ne nommant pas Lucie Castets à Matignon alors que la gauche était arrivée en tête au soir du second tour, et en prétendant que la nomination de Michel Barnier, LR, venait du manque de soutien du Nouveau Front populaire à l’ancien socialiste Bernard Cazeneuve.
08:30
Affaire Engrand: Tanguy estime qu’elle a « reconnu une erreur »
Interrogé sur la députée Rassemblement national Christine Engrand, qui a dépensé plus de 10 000 euros d’argent public pour couvrir des frais personnels (frais de garde de ses chiens, abonnement à un site de rencontre, obsèques), Jean-Philippe Tanguy excuse sa consœur: « elle a reconnu que c’était une erreur, elle a remboursé avant que ça ne sorte dans la presse ». Il estime que « des circonstances particulières, notamment des deuils, ont fait qu’elle était peut-être moins disponible pour être attentive à ces choses ». Et de rappeler le cas de Jean-Christophe Cambadélis. L’ancien patron du Parti socialiste a été condamné la semaine dernière à huit mois de prison avec sursis, cinq ans d’inéligibilité et et 60.000 euros d’amende, pour avoir utilisé une partie de ses frais de mandat parlementaire pour s’acquitter de sa cotisation à son parti ou pour payer des dépenses de campagne en 2017.
« Camba » doit encore rembourser à l’Assemblée nationale un peu plus de 27.000 euros. Il a annoncé faire appel.
08:25
Entre Michel Barnier et Laurent Wauquiez, les montagnes russes
Le nouveau Premier ministre, Michel Barnier, et le chef de file de la Droite républicaine, Laurent Wauquiez, entretiennent des relations contrastées depuis qu’ils se connaissent. Parviendront-ils à travailler ensemble alors que les parlementaires LR ont donné ce mercredi leur feu vert à la participation à un gouvernement ? Récit sur leur relation.
08:21
Philippe « pire que Macron »
« Il était pire », tance Jean-Philippe Tanguy RN) sur France 2. « Ce n’est pas très populaire de dire ça mais Monsieur Philippe était pire que Monsieur Macron », insiste le député, « notamment parce qu’il a imposé le 80 km/h sans aucune concertation ».
08:12
Tanguy aime bien l’écrivain Le Maire
Assassin sur le bilan du ministre de l’Economie Bruno Le Maire, le député RN Jean-Philippe Tanguy lui souhaite « pour son départ, de continuer à être un écrivain de talent, il a un très bon style, il est publié dans une édition prestigieuse, je le dis sans ironie », confie-t-il sur France 2.
08:10
Hausse des impôts, la ligne rouge du RN
« Oui », le RN pourrait censurer le budget si une hausse des impôts était décidée, affirme sur France 2 le député RN Jean-Philippe Tanguy. « Il est hors de question, ça a déjà été compris, qu’on augmente les impôts. Il paraît que même les républicains l’ont dit à Michel Barnier », dit-il, même si « on est habitués à être trahis par les Républicains sur les impôts, j’espère qu’ils respecteront pour une fois leur promesse ».
« Depuis cinquante ans, les gouvernements successifs pensent que dépenser de l’argent, c’est agir, non! », martèle celui qu’on disait pressenti pour Bercy si Jordan Bardella devenait Premier ministre.
08:05
Coquerel et Courson iront « chercher » les lettres de cadrage à Matignon
Le président de la commission des Finances Eric Coquerel (LFI) réclame sur France Inter que les lettres de plafond qui permettent à chaque ministère de connaître l’enveloppe budgétaire dont il disposera l’an prochain soient transmises au Parlement. Sinon « nous irons les chercher avec Charles de Courson, lundi à Matignon, puisque c’est apparemment de là que ça part ». « On a déjà six semaines de retard sur ce que prévoit la loi. Il faudrait peut-être arrêter, le Parlement a le droit de discuter du budget ».
07:57
« Tractage au faciès », Eric Coquerel réfute les arguments de François Ruffin
« Non, bien évidemment », Coquerel ne confirme pas les accusations de François Ruffin, qui a affirmé hier que la France insoumise menait des campagnes de « tractage au faciès ». « J’avais du respect pour Français, il a apporté énormément de choses mais là, il se livre à quelque chose qui ne me va pas du tout. Il commence comme d’autres à un peu trop marquer des buts contre son camp », reproche sur France Inter le député LFI Eric Coquerel. Le président de la commission des Finances réfute l’attaque qui dit que « nous essentialisons les victimes du racisme ». « Le racisme ce n’est pas seulement un fait sociétal, c’est un fait social, le racisme a toujours servi le système pour imposer les classes sociales, imposer sa domination », martèle-t-il.
07:48
Des ministres de gauche au gouvernement ?
Aurore Bergé y croit mordicus: « socialistes ou socio-démocrates, je pense qu’ils sont nombreux à ne pas vouloir rester soumis au syndrome de Stockholm avec la France insoumise », tacle-t-elle sur RTL.
07:45
Non, Bergé n’a jamais cru à Matignon pour elle
« Je l’ai dit, à partir du moment où on a perdu ces élections, il fallait que le Premier ministre ne soit pas issu du bloc central, il n’y a pas d’ambiguïté de ma part », sourit sur RTL Aurore Bergé, pour répondre au Canard enchaîné qui affirmait dans son édition d’hier que la ministre démissionnaire avait cru avoir une chance pour Matignon.
07:41
Barnier a déjà vu les parlementaires macronistes
Le Premier ministre, qui rencontre les députés LR cet après-midi, s’est rendu mardi à la rentrée des députés Ensemble pour la République (ex-Renaissance), puis hier à celle du parti d’Edouard Philippe Horizons ainsi qu’à celle du MoDem de François Bayrou.
07:34
Dans nos oreilles
Ce matin, les invités des matinales radio et télé sont… Aurore Bergé, ministre démissionnaire chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations (RTL, 7h40), Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme (même heure, France 2), Pierre Jouvet, député européen PS (Radio J, 7h45), Eric Coquerel, président LFI de la commission des Finances à l’Assemblée (France Inter, 7h50), Dominique de Villepin (France Inter, 8h20), Fabien Roussel, secrétaire national du Parti Communiste (LCI, 8h30), Sébastien Delogu, député LFI des Bouches-du-Rhône (Sud radio, 8h30), Arnaud Rousseau, président de la FNSEA (RMC et BFM, 8h35).
07:20
Michel Barnier attendu chez LR cet après-midi
Après les journées parlementaires des partis macronistes, Les Républicains se sont retrouvés hier soir à Aix-les-Bains (Savoie) pour les députés et à Annecy (Haute-Savoie) pour les sénateurs, où Michel Barnier se rendra dans l’après-midi, a indiqué Matignon.
07:10
Un gouvernement la semaine prochaine ?
« La semaine prochaine, on nommera le gouvernement », a assuré hier Michel Barnier, promettant de constituer « une nouvelle équipe pour répondre aux préoccupations des Français », et de ne pas faire un simple remaniement.
07:00
Bonjour à tous
Bienvenue dans ce direct dédié à l’actualité politique. Michel Barnier cherche toujours à constituer son équipe gouvernementale.
Contexte
Les consultations de Michel Barnier continuent
Moins d’une semaine après sa nomination, Michel Barnier s’échine toujours à constituer son équipe gouvernemental. Les parlementaires LR ont donné leur feu vert, hier, à leur participation à ce gouvernement. La gauche pourrait être la grande absente de cette équipe.