C’est une première pour les étudiantes clermontoises souffrant de douleurs menstruelles. L’université Clermont-Auvergne (Puy-de-Dôme) a décidé d’expérimenter un tout nouveau dispositif baptisé le « crédit jours pour les troubles menstruels ». Les jeunes femmes disposeront d’une réserve de 10 jours d’absence autorisée sur l’année universitaire. Le décompte s’effectue à la journée et « uniquement pour

Yael Mellul : « Chaque féminicide est un échec collectif » le 21 septembre 2024

Il aura fallu le tournant du Grenelle des violences conjugales, lancé en 2019 sous la pression des associations féministes, pour que le sujet des maltraitances faites aux femmes et aux enfants devienne une véritable préoccupation sociétale. Selon notre enquête OpinionWay pour Le Parisien, pour 88 % des Français interrogés, les violences sexistes et sexuelles constituent

Julie Gayet et les inégalités salariales : « Il faut que les Elon Musk de demain soient des femmes » à 08h00

Marzieh Hamidi, 21 ans, doit faire face à un déferlement de haine sur les réseaux sociaux après la publication, fin août, d’une vidéo contre le régime au pouvoir en Afghanistan. À l’occasion des 80 ans du Parisien, Yonathan Arfi, président du Crif, est allé à la rencontre de la sportive, qui vit désormais sous protection

C’est parfois un week-end, voire une semaine entière, le plus souvent juste une soirée, pour accueillir les nouveaux élèves dans l’enseignement supérieur. Autrefois synonymes de bizutage, ces moments festifs d’intégration mettent les étudiantes en alerte, craignant de se retrouver la cible de violences sexistes, voire sexuelles. Par Christine Mateus  Le 13 septembre 2024 à 09h00

De passage à la Fashion Week de New York, la chanteuse catalane Rosalía a posé en compagnie de ses fans dans les rues. Mais l’un d’eux s’est permis un geste déplacé au moment de prendre la photo, ce qui n’a pas du tout plu à l’artiste. Dans une vidéo devenue virale, publiée mi-septembre sur TikTok,

De nombreuses voix réclament une évolution. « La définition du viol est trop restrictive, regrette l’avocate Maria Cornaz Bassoli, secrétaire nationale de l’association Choisir la cause des femmes, créée par Gisèle Halimi. Aujourd’hui, le droit en vigueur nous impose de démontrer l’absence de consentement par la présence de violence, contrainte, menace ou surprise. Les cas

« Où sont les hommes ? » L’interrogation est d’abord venue du milieu du cinéma, lorsque Judith Godrèche ou Juliette Binoche avaient questionné leur silence face aux violences sexuelles dans le monde du 7e art. « Ce n’est pas possible de n’avoir que des femmes qui parlent. Toutes les femmes attendent (ce soutien) », lançait,

« Une avancée significative » : l’université de Créteil instaure des congés menstruels