« Un premier pas indispensable, qui ne se suffit pas à lui seul », estime Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, syndicat de professeurs du second degré. « On voit bien avec les récents témoignages qu’on fait face à un phénomène et l’institution ne peut pas rester sans rien faire », reconnaît l’enseignante, qui acte que les cas des internats et des voyages scolaires sont « souvent les angles morts du suivi des élèves ». « Mais pour des raisons de forme et de fond, ces questionnaires ont leurs limites. »