Imaginons-nous les jours où nous arrivons le matin au bureau de mauvaise humeur. Pas envie de parler, encore moins de sourire. On rumine dans son coin. « Erreur ! » clament Sylvain Zaffaroni et Marion Mashhady, deux entrepreneurs souriants de respectivement 55 et 35 ans. Parce qu’elle est fragile, « la bonne humeur se cultive chaque matin », estiment-ils.
L’intelligence artificielle générative – oui, encore elle – pourrait même y contribuer. Ces derniers, fondateurs depuis septembre de l’entreprise et de la marque « Bonne humeur », y voient même l’outil idéal pour faire souffler une brise de bien-être au travail. « Et de l’énergie », enchérit Sylvain, ingénieur de formation.