Cette école d’ingénieurs a trouvé la formule de la parité : « Plus il y a de filles, plus il y aura de filles »
Juliette, étudiante originaire de l’Isère, a toujours été douée en maths. Dès la fin de la 2de, le choix de la filière scientifique, une première S à l’époque, s’est imposé. « C’était l’option de la facilité, et c’est aussi quelque chose qui me plaisait, contrairement au français. » La jeune fille bénéficie de l’aval de