« Nous avons de très bons kinésithérapeutes ici, et c’est très important pour moi. Je vieillis un peu, vous savez. 23 ans, c’est vraiment vieux. » Il y a quelques jours, à la sortie d’une séance d’entraînement place de la Concorde (VIIIe), Roos Zwetsloot ironisait sur son grand âge au sein du circuit olympique féminin.

Il y a trois ans, elle achevait sa carrière olympique à Tokyo, auréolée d’une nouvelle médaille individuelle sur 400 m et d’un nouveau titre avec ses coéquipières du relais, deux ans seulement après la naissance de sa fille. Présente à Paris durant ces Jeux olympiques, Allyson Felix, 38 ans, nous a reçu, dans le cadre

Certaines femmes attendent la finale dimanche de l’Euro de football la boule au ventre. Pas par passion du sport, mais par crainte que les violences conjugales redoublent. Preuve que cette inquiétude est partagée : le 3919, numéro national de référence pour l’écoute et l’orientation, a décidé de conserver pendant l’Euro et les Jeux olympiques le

« Je ne me suis jamais arrêté à ces réflexions. J’ai fait huit ans de foot avant, un sport d’hommes comme on dit, donc j’étais habituée. Lors de mes premières compétitions de tir, j’étais la seule femme à me déplacer en équipe de France. À partir de là, on se forge une carapace », nous

C’est une ambition que porte en bandoulière Hélène Bidard depuis des mois. L’adjointe à l’égalité Femmes-hommes de la capitale veut faire de Paris 2024, « les premiers Jeux féministes » de l’histoire. Un large objectif qui se traduit notamment par un volet de lutte contre les violences sexistes et sexuelles pendant la période olympique. «

Une différence de comportement confirmée par une nouvelle étude, qui épingle, au passage, quelques stratégies d’évitement du type « ghosting » (soit, disparaître sans donner d’explication). Le principal enseignement ? Les Françaises privilégient une approche plus directe, puisque 55 % d’entre elles optent pour une rupture en face-à-face, contre moins de la moitié des hommes,

Ce n’est pas une première. Nancy Pelosi, ancienne présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, ainsi que l’élue démocrate new-yorkaise, Alexandria Ocasio-Cortez ont été affublées de cet adjectif par le même personnage, « toute comme son ancienne concurrente, Hillary Clinton », rappelle Rebecca Amsellem, économiste, entrepreneuse franco-canadienne et fondatrice de la newsletter féministe Les

Cachez cette culotte que je ne saurais voir. Adressé le mois dernier aux parents, le mot de cette directrice d’école maternelle le formulait de manière édulcorée : « Pensez à ajouter un short sous la jupe ou la robe de votre enfant afin de faciliter les postures, en prévision des fortes chaleurs. » Dans cet

Si les enquêtes suivent leurs cours, ces affaires font penser à une « violence qui s’exerce sur les enfants pour blesser la femme » soient des « violences vicariantes ». Concept théorisé par Sonia Vaccaro, psychologue argentine, en 2012 qu’elle résume ainsi : « En assassinant les fils/filles, l’agresseur s’assure que la femme ne s’en