« J’ai fait ma passation de pouvoir (avec Stéphane Séjourné), j’ai pris dans la foulée un avion pour New York, prêt à porter la voix singulière de la France devant l’Assemblée générale de l’ONU ! » raconte-t-il. Il a beau débarquer dans le poste, il ajoute sa touche personnelle aux notes préparées par les diplomates, met de l’humain dans le discours en évoquant les enfants ukrainiens kidnappés par les Russes. « Contrairement à son prédécesseur qui était là par le fait du prince, Barrot connaît les dossiers, n’est pas étranger aux affaires étrangères », apprécie le géopolitologue Pascal Boniface.