Ce n’est pas une première. Nancy Pelosi, ancienne présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, ainsi que l’élue démocrate new-yorkaise, Alexandria Ocasio-Cortez ont été affublées de cet adjectif par le même personnage, « toute comme son ancienne concurrente, Hillary Clinton », rappelle Rebecca Amsellem, économiste, entrepreneuse franco-canadienne et fondatrice de la newsletter féministe Les Glorieuses. En 2019, elle y avait d’ailleurs écrit l’édito suivant : « Elle est folle — Sans doute la meilleure excuse au monde pour délégitimer les femmes ».